Notre Artisan Chocolatier
David Landman
Avant de devenir artisan chocolatier, David à été cuisinier pendant plus de 15 ans. Ses deux passions, la gastronomie et la plongée sous-marine l’ont amené à voyager à travers le monde. En 2017, il découvre l’Anse-Saint-Jean et tombe en amour avec le village et son environnement : le Fjord, la Montagne, le Bois.
Passionné depuis son adolescence par le Vin, il prend vite conscience de l’importance du Produit et du travail du producteur dans l’élaboration de celui-ci. Après des études en Commerce et Sciences Économiques, il décide finalement de s’orienter vers la cuisine professionnelle afin d’assouvir ses passions pour les diverses branches de la gastronomie.
Paris, Bruxelles, la Thaïlande, l’Indonésie, Montréal et finalement l’Anse-Saint-Jean ! C’est à l’automne 2017 que David découvre l’Anse. C’est une « révélation » ! Il décide donc de s’y installer avec sa famille. Kao Chocolat, fondé par Kristina Riverin en 2014, se cherche alors un repreneur !
Il voit en KAO CHOCOLAT l’opportunité de faire vivre le terroir québécois en l’exprimant par la création de fines bouchées gourmandes et irrésistibles. Propriétaire de KAO CHOCOLAT depuis juillet 2019, David s’amuse avec la matière et a totalement intégré à ses chocolats des saveurs oubliées du terroir québécois.
Nos engagements
KAO CHOCOLAT, c’est une palette de saveurs issue de la forêt boréale, du terroir québécois et de produits d’ailleurs, à travers l’univers du chocolat.
C’est aussi une recherche pour s’approvisionner de façon éthique et responsable.
L’approvisionnement en matières premières se fait auprès de producteurs de fermes biologiques et/ou équitables afin de respecter le savoir-faire traditionnel et l’environnement de nos communautés locales.
La recherche d’équité envers les communautés qui produisent le cacao à travers le monde est aussi essentielle dans notre démarche, afin de respecter le travail accompli et de valoriser leurs terres et leur production.
Les déchets font partie aussi de nos préoccupations environnementales. Nous essayons donc de réduire ceux-ci à la source : de l’emballage de la matière première à nos emballages issus de matières recyclées et réutilisables.
Ce qui nous attend demain…
L’aventure ne s’arrête pas ici car David aimerait bien à terme inscrire son entreprise dans le concept « de la fève à la tablette ».
Ainsi, il aimerait pouvoir transiger avec les producteurs de cacao et transformer eux-mêmes les fèves pour avoir un plein contrôle sur la qualité des chocolats qu’ils confectionnent. Alors là, l’affaire serait tout à fait chocolat !